La veille nous avions été plus qu’intrigués avec Michoco de tomber nez à nez, en plein bitume, avec un magnifique paon qui semblait bien conscient de sa beauté.
Je ne savais pas que les paons vivaient en Afrique, il faudra que je pense à demander à mon ami Wiki…
Michoco avait déjà son hypothèse : « il se promène pour aller voir ses amis ». Oui, ça doit être ça mon chéri !
Ce matin nous l’avons recroisé haut perché !
Tout se confirme : il habite dans les parages… et prend ses aises le plus naturellement du monde.
Il n’a pas choisi le pire endroit : quartier huppé, hôtel de luxe, accès direct à la mer, avec un paon pour habitant ça deviendrait presque le must du must ! Nous n’habitons pas là -on ne dit pas que l’on n’aimerait pas, mais même sans paon la côte de l’immobilier est inabordable…- alors faute de mieux nous venons tremper nos petons dans le coin dès les premières grosses chaleurs…
Bref, pensant encore à ce joli paon, ses yeux de biche et ses plumes envoutantes, je n’ai pas pris garde au pélican qui se promenait sur la plage, décidemment les drôles d’oiseaux ont l’air de drôlement se plaire par là… et me suis fait mordre ! Zut je ne ressemble pourtant ni à une sardine grillée, ni à une écrevisse puisque c’est plutôt protection solaire indice +600 en ce moment… En soit j’aurai pu m’en remettre si de peur je ne m’étais pas cognée le pied dans une pierre pour me casser l’ongle / le petit doigt (à suivre c’est tout violet et ça fait mal très mal…)
ça m’apprendra à vouloir côtoyer de trop près la vie naturelle ;-)
C’était ma participation aux instantanés singuliers de l’atmosphérique marie kleber, que je ne présente plus, mais passez quand même sur son blog découvrir les autres participations (ici) !